Des questions?
N'hésitez pas à envoyer vos commentaires et questions à Marc Comina, président de kiiz SA: marc@kiiz.ch
Dans cette série, les experts de kiiz aux principales questions que se posent les propriétaires désireux de vendre leur bien. Quand vendre? Avec qui vendre? A quel prix vendre? Faut-il croire au carnet d’adresses? Aujourd’hui, les experts de kiiz abordent la question cruciale du mandat exclusif.
Très souvent, les propriétaires ont la tentation de mandater plusieurs courtiers. Le raisonnement paraît logique: si je donne ma maison ou mon appartement à vendre à trois courtiers, j’ai forcément trois fois plus de chances de trouver un acheteur. Pourtant, c’est une fausse piste.
Tout commence par une croyance profondément ancrée dans l’imaginaire de nombreux propriétaires et savamment alimentée par certains courtiers. Celle du carnet d’adresses. Cette croyance consiste à penser que l’atout principal d’un courtier, ce qui le distingue de son concurrent d’à-côté, ce sont les acheteurs qu’ils possèdent au fond de sa poche et qu’il va faire surgir pour acheter votre maison.
Tout continue par un raisonnement qui paraît pétri de bon sens: si un courtier ne sert pas à amener «ses» acheteurs (donc ceux qu’il garde au chaud au fond de sa poche), alors à quoi diable peut-il bien servir? En effet, poursuit le raisonnement, si le travail du courtier se limite à prendre des photos et à les publier sur un portail immobilier, on se demande vraiment à quoi il peut bien servir.
Mais tout s’achève par une réalité économique très terre à terre: le courtage immobilier est un marché transparent régulé par la loi de l’offre et de la demande. Hors segment très particulier du luxe, lequel ne représente cependant qu’une infime partie non représentative du marché global, il n’y a ni biens cachés ni acheteurs masqués dans ce secteur économique. Pratiquement toute l’offre se trouve sur les deux portails qui exercent de facto un duopole (Homegate et ImmoScout24) et les acheteurs le savent, donc c’est là qu’ils se rendent pour trouver la maison de leurs rêves.
Ce n’est pas tout. Il faut également savoir que les bons courtiers font tous la même chose pour commercialiser votre bien. Ils réalisent des photos, rédigent une annonce, la diffusent sur les portails immobiliers, organisent les visites et négocient le prix avec les acheteurs potentiels. On se réjouirait d’ailleurs d’entendre un jour quelqu’un prétendre qu’il y aurait une autre manière de vendre une maison.
Ce qui nous ramène à la question du jour. Si tous les bons professionnels offrent les mêmes prestations et qu’aucun ne possède de chapeau magique d’où faire surgir des acheteurs, à quoi bon multiplier les mandats? Réponse toute simple: à rien. Donc autant l’éviter.
En conclusion, la réflexion décisive du propriétaire-vendeur ne tourne pas autour de l’exclusivité. Ce qui change tout, c’est le choix initial du mandataire. Depuis l'apparition des courtiers au forfait, faire le bon choix, c’est renoncer à dépenser des dizaines de milliers de francs pour vendre sa maison. Des centaines de clients l’ont déjà compris et ont vendu leur maison avec kiiz pour un forfait de 9500 francs, pourquoi pas vous?
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